mardi 24 mai 2016

De la routine à l'exécution


                                                     Be ready to your success trip !
                            Pour réussir, il faut oser ! النجاح ابن الجراة
                                             Life is time !

Les secrets de la réussite
1/ Rêve !
Aies une ambition et développe ta personnalité.
2/ Crois !
-Développe ton rêve et fixe-toi des convictions.
3/ Vis !
-Vis pour le changement et considère-le  attitude et habitude.
4/ Réalise ton rêve
-Assure-toi un développement permanent.

Le rêve
Les rêves sont les désirs les plus profonds chez l’individu mais si nos objectifs sont modestes, ceci nous conduit à abandonner.
Quelles est la différence entre le rêve et l’imagination ?
On appelle rêve tout ce qui passe pour devenir objectifs, tandis que l’imagination représente les rêves qui ne passent pas pour objectifs.

Les objectifs

I/ Les types d’objectifs
a)      Objectifs simples et classiques : rêves sans finalités.
b)      Objectifs à court terme : vie monotone et instable.
c)       Objectifs à moyen terme : stabilité proportionnelle et  succès  modeste.
d)      Objectifs à long terme : envie de réussir et performances grandioses.

II/ Les principes de l’objectif
a)      Clair et bien visé
b)      Réalisable
c)       Concret
d)      Déterminé dans le temps

III/ Les sept étapes de la réalisation des objectifs
1)      Détermine tes objectifs par écrit
2)      Focalise les intérêts de ces objectifs
3)      Délimite les éventuels obstacles
4)       Identifie les savoirs et les savoir-faire qui te permettent d’atteindre tes objectifs
5)      Privilégier le travail de groupe
6)      Etablir un plan fixe (quotidien, hebdomadaire et mensuel)
7)      Détermine une date pour réaliser chaque objectif

IV/ Les trois raisons qui empêchent la détermination des objectifs
1)      Etat psychologique
2)      Inconscience de l’importance de l’objectif
3)      Inaptitude à déterminer ses objectifs

Les  mystères des personnes les plus équilibrées
1)      L’aspect spirituel
2)      La tolérance
3)      Le côté personnel

*** Pour passer d’un individu ordinaire à un ETRE agissant, compétant et performant, il faut révolutionner…
a)      Ses relations
b)      Ses compétences
c)       Sa pensée
d)      Ses intérêts
e)      Ses technicités

Quelles sont les pratiques les plus pertinentes pour maîtriser la communication ?
1)       Prendre l’initiative
2)      Commencer mais imaginer la fin
3)      Focaliser sur le plus important
4)      Penser au gain collectif
5)      Comprendre tout en étant compréhensif
6)      Disposer d’une réflexion créative
7)      Etre persévérant
8)      Etre passionné
9)      Travailler consciencieusement
10)   Pratiquer et appliquer
11)   Se concentrer
12)   Administrer pour achever les tâches
13)    Etre au service de soi et des autres
14)   positiver
15)   Concevoir de nouvelles idées et détecte des solutions novices

Quelles sont les attitudes des personnes réussies ?
1)      Elles souhaitent la réussite aux autres
2)       Elles se fixent des objectifs
3)      Elles planifient
4)       Elles assument  leur  responsabilité en cas d’échec
5)      Elles sont tolérantes
6)      Elles louent les expériences, les efforts et les succès d’autrui
7)      Elles lisent quotidiennement
8)      Elles sèment  le bonheur
9)      Elles apprennent tout le temps
10)   Elles informent les autres de leurs expériences et de leur savoir
11)   Elles acceptent le changement avec  euphorie


Comment être une personne positive ?
a)      Par la bonne conduite
b)      Par les habitudes les plus convenables
c)       Par la bonne gestion du temps
d)      Par la concentration
e)      Par la planification
f)       Par la fréquentation des personnes réussies

                               Compte rendu élaboré par Majdouline Borchani 


           "One day trainning", assuré à Sfax le 21 mai 2016  par Ramy Shoukry, entraîneur, égyptien et international, de développement personnel 
   
            Chapeau Bas à monsieur Ramy Shoukry pour la technique qu'il utilise afin de capter l'attention de ses auditoires. Je salue son sens de l'humour et son dynamisme au moment de la présentation. 
           J'ai beaucoup admiré sa maîtrise de la technique narrative que ce soit au niveau du changement de personnages dans les rôles qu'il jouait ou bien dans le choix des récits pertinents. 



           
                                                                  



lundi 16 mai 2016

Quand la peinture s'associe à la musique



Quand la peinture s'associe à la musique... ça donne ...
Un poème où le mot dit ce que l'âme entend...
Une mélodie où l'âme chante ce que ressent le coeur... 
Un tableau en mosaique où se réunissent les sentiments, les gestes et les expressions...
                                    
                                    Majdouline

Il y a tant de mystères au bord de ses dentelles


   Il la regarde et imagine qu’elle pourrait être juste celle, qui, pour un jour ou une nuit, une heure, une tranche de vie serait sienne… la femme, l’amante, la muse, la belle amie… Mais il y a tant de mystères au bord de ses dentelles…


                                        Annie Kubasiak-Barbier 

Toute la poéticité est là...

                                                          Tableau de l'artiste Émile Vernon


Regard   grâcieux et majestueux...
Sourire doux et mystérieux...
Dentelle fine et lyrique...
Verdure édénique et paradisiaque...
Aux couleurs féeriques...
Bouquet  mélodieux et harmonieux...

Toute la poéticité est là... 

                       Majdouline

jeudi 12 mai 2016

Les plus belles figures de rhétorique dans " Ce que le jour doit à la nuit "






     * J’étais la fête, j’étais la joie, j’étais l’extase dans son ivresse absolue ; je me sentais mourir et renaître en même temps. (Chap.10)
         
     * Les rayons du soleil tombaient droit, pareils à une coulée de plomb. Dans le ciel lustral, des mouettes voltigeaient, ivres d’espaces et de liberté. De temps à autre elle piquait sur les flots, se pourchassaient en rase-mottes  puis remontaient en flèches se confondre dans la toile azurée. Très loin un chalutier regagnait son port, une nuée d’oiseaux dans son sillage ; la pêche était bonne. 
              
   C’était une belle journée.
  Une dame solitaire contemplait l’horizon, assise sous un parasol. Elle portait un vaste   chapeau enrubanné de rouge et des lunettes de soleil. Son maillot blanc collait à son corps bronzé comme une seconde peau… (Chap.10)
    
     * Je l’avais revue quelques jours plus tard, sur l’avenue principale de Rio. Elle sortait d’une boutique, son chapeau blanc telle une couronne sur son beau visage. (Chap.10)
           
   * Une petite mèche frétilla sur son front ; elle la releva d’une main élégante, comme si elle soulevait une tenture sur sa propre splendeur. (chap.13)
       
   *  Elle portait un tailleur gris qui l’enserrait telle une camisole, comme pour interdire à son corps euphorique de se jeter nu dans la rue, et un chapeau garni de bleuets qu’elle tenait imperceptiblement incliné sur son regard orageux. (Chap.13)

   * Sa voix avait la douceur d’une source de montagne. Elle avait prononcé «  monsieur Jonas » exactement de la même manière que sa mère, en appuyant sur les « s », produisant le même effet sur moi, remuant les mêmes fibres… (Chap.13)

   *  Un éclair illumina les ténèbres. La pluie tombait doucement. Les carreaux étaient en larmes. Je n’avais pas l’habitude de voir pleurer les vitres. C’était un mauvais signe, le pire de tous. Je m’étais alors dit : Attention, Younes, tu es en train de t’attendrir sur ton sort. Et puis après ? N’était-ce pas exactement ce je voyais : les vitres pleurer ? Je voulais voir les larmes sur les carreaux, m’attendrir sur mon sort, me faire violence, me confondre corps et âme avec ma peine. (Chap.15)

*  J’étais l’amour et la haine ficelés dans un même ballot, captifs d’une même camisole. (Chap.17)
   
   * Maintenant qu’elle se tenait à un mètre de moi, je remarquai qu’elle avait changé, que sa beauté d’autrefois s’était rétractée, qu’elle n’était que l’ombre d’une époque, une veuve inconsolable qui  avait décidé de se laisser aller, la vie lui avait pris ce qu’elle ne saurait lui rendre. Tout de suite je pris conscience de mon erreur. Je n’étais pas le bienvenu. Je n’étais qu’un couteau dans la plaie. (Chap.17)

  * J’étais amer comme une racine de Laurier-rose, renfrogné et furieux contre quelque chose que je ne tenais pas à définir. (Chap.17)

  * Son visage était un morceau d’airain, un miroir aveugle. Je n’arrivais pas à croire qu’elle puisse m’accueillir avec une telle insensibilité. […] J’étais resté planté sur le trottoir, interdit de la tête aux pieds, et l’avais regardé sortir de ma vie comme une âme jumelle trop à l’étroit dans mon corps pour s’en accommoder. (AIX-EN –PROVENCE)

    * A quatre-vingts ans, notre avenir est derrière. Devant, il n’y a que le passé. […]   Je n’arrive pas à fermer l’œil. Essaye de ne penser à rien. Etreins les oreillers, me couche sur le flanc droit, sur le flan gauche, sur le dos. Je suis malheureux. (…) Je suis aux portes de la mémoire, ces infinies bobines de rushes qui nous archivent, ces grands tiroirs obscurs où sont stockés les héros ordinaires que nous avons été. Je ferme les yeux pour mettre fin à quelque chose, arrêter une histoire mille fois convoquée et mille fois falsifiée… Nos paupières nous deviennent des portes dérobées, closes, elles nous racontent ; ouvertes, elles donnent sur nous-mêmes. Nous sommes les otages de nos souvenirs. (AIX-EN –PROVENCE)

   *  Je ne suis qu’un regard qui court, court, court à travers les blancs de l’absence et la nudité des silences… (AIX- EN- PROVENCE)

   *  C’est comme si d’un coup, toutes les étoiles du ciel n’es faisaient qu’une, comme si la nuit, toute la nuit, venait d’entrer dans ma chambre pour veiller sur moi. Je sais que, désormais, là où j’irai, je dormirai en paix. (AIX- EN- PROVENCE)

                                      Yasmina Khadra, Ce que le jour doit à la nuit



mercredi 11 mai 2016

Ô fière, ingrate, et fâcheuse beauté !


Vu que tu es plus blanche que le lis,
Qui t’a rougi ta lèvre vermeillette
D’un si beau teint ? Qui est-ce qui t’a mis
Sur ton beau sein cette couleur rougette ?
Qui t’a noirci les arcs de tes sourcils ?
Qui t’a bruni tes beaux yeux, ma maîtresse ?
Ô grand beauté remplie de soucis,
Ô grand beauté pleine de grand liesse !
Ô douce, belle, honnête cruauté,
Qui doucement me contraint de te suivre,
Ô fière, ingrate, et fâcheuse beauté,
Avec toi je veux mourir et vivre.

                                 Pierre de Ronsard


mardi 10 mai 2016

La supériorité de l'oeuvre d'art



Une oeuvre d'art n'est supérieure que si elle est, en même temps, un symbole et l'expression exacte d'une réalité.
                                    
                                  Guy de Maupassant

Les mots et la pensée



    Je parle… Mais avant de parler je choisis mes mots.  Je pense en parlant intérieurement…

   Solide est le rapport entre les mots et la pensée. Des mots bien organisés agissent sur la pensée, et une pensée structurée agit sur l'organisation des mots.

                                  Majdouline

lundi 9 mai 2016

À la recherche de la lumière


Tout en haut des cimes,
Vivent nos espoirs,
Réside notre optimisme,
Se trouve la lumière.

Tout en haut des cimes,
Comme des nuages de passage,
Notre vie traverse cet abîme,
À la recherche de la lumière.

Tout en haut des cimes,
Nos yeux s’y tournent,
Pour prier, pour espérer,
Pour chercher la lumière.

Tout en haut des cimes,
Il nous faut y atteindre,
Sans jamais douter d’y parvenir,
L’ombre même de la lumière.
Et quand les montagnes,
S’en iront comme des nuages,
Et quand les montagnes,
Laisseront passer la lumière.
Enfin, nous y serons parvenus,
Tout en haut des cimes.


             Nashmia Noormohamed, 2015

Si j’étais la feuille que roule

                                                         Photo prise par Fatima Cordeiro



Si j’étais la feuille que roule
L’aile tournoyante du vent,
Qui flotte sur l’eau qui s’écoule,
Et qu’on suit de l’oeil en rêvant ;
Je me livrerais, fraîche encore,
De la branche me détachant,
Au zéphyr qui souffle à l’aurore,
Au ruisseau qui vient du couchant.
Plus loin que le fleuve, qui gronde,
Plus loin que les vastes forêts,
Plus loin que la gorge profonde,
Je fuirais, je courrais, j’irais !

                             Victor Hugo