A dix mille lieues de son village,
Elle a des rêves de voyage
Et elle regarde l’océan
Le cœur léger, cheveux au vent.
De l’autre côté des nuages,
L’horizon l’invite au grand large,
Là où s’en vont les fiers voiliers
Loin vers des îles insoupçonnées.
Un peu fragile, en robe blanche,
Elle se dessine des dimanches
Ensoleillés au petit jour,
Bercés de paix, de mots d’amour.
Annie Kubasiak-Barbier, La voyageuse sur le banc
Toujours un enchantement les mots de cette poétesse,
RépondreSupprimertrès bien illustrés par cette peinture
Je suis de plus en plus passionnée par ses vers...
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