Déjà quand j’étais enfant, j’adorais
la mer ! J’y vivais comme un poisson !
Ma chère nièce, à te regarder, toute petite, flotter dans l’océan, je me voyais en toi… Je voyais l’enfant que j’étais et qui ne voulais quitter l’eau bleue, l’eau claire, l’eau fraîche…
Sur le sable mouillé, tes pieds sont gravés et vers le ciel nuageux ton regard s’est tourné…
Le sourire de la liberté t’embellit et vers le mouvement des vagues tu t’es envolée…
Tu dansais sur les ondes comme je le faisais et de leur coup froid tu t’enfuyais…
Ta tante Majdouline
des mots d'amour
RépondreSupprimerdes mots chansons
qui suivent la musique
des vagues
celle du destin
celle du temps qui passe
j'ai beaucoup aimé tes mots
Ahhh ! Oui, Marie ! Le destin qui fait bien les choses...
RépondreSupprimerLe temps qui passe et qui se reproduit...
Le présent du passé et le passé au présent...