Fermer de temps en temps les
portes et les fenêtres de la conscience ; demeurer insensibles au bruit et à la
lutte que le monde souterrain des organes à notre service livre pour
s’entraider ou s’entre-détruire ; faire silence, un peu, faire table rase dans
notre conscience pour qu’il y ait de nouveau de la place pour les choses
nouvelles, et en particulier pour les fonctions et les fonctionnaires plus
nobles, pour gouverner, pour prévoir, pour pressentir (car notre organisme est
une véritable oligarchie) voilà, je le répète, le rôle de la faculté active
d’oubli, une sorte de gardienne, de surveillante chargée de maintenir l’ordre
psychique, la tranquillité, l’étiquette. On en conclura immédiatement que nul
bonheur, nulle sérénité, nulle espérance, nulle fierté, nulle jouissance de
l’instant présent ne pourrait exister sans faculté d’oubli.
(Nietzsche)
Bonjour , Personnellement , je ne ferme pas la porte à " ma conscience " mais souvent
RépondreSupprimeraux évènements que j'observe consciemment .
Bonsoir Eliane Hélène !
SupprimerMoi, pour continuer le trajet de la vie, j'ouvre la voie de l'oubli.
Bonjour . Envie de partager votre blog avec le monde entier ? De retrouver des personnes partageant les mêmes passions que vous ? Venez nous rejoindre.
RépondreSupprimerInscrivez-vous, le nom de votre blog, l'url, le pays
Également veuillez suivre notre blog comme nous le faisons. Merci
http://world-directory-sweetmelody.blogspot.com/
RépondreSupprimerUne citation qui m'interroge et me laisse perplexe!
Je préfèrerais la solution de
Bertrand Piccard
"
Nous ne changerons jamais la direction des courants aériens ni celle des vents de la vie, mais nous pouvons à chaque instant changer d’altitude pour nous en libérer et trouver une meilleure trajectoire. Changer de niveau de compréhension afin de dépasser nos peurs, afin de découvrir d’autres façons de penser et de se comporter, d’autres explications, d’autres manières de percevoir la cause et même le sens de ce qui nous arrive. Comprendre ce que nous avons à faire de notre passage sur Terre. "
J'ai beaucoup aimé cette philosophie de Bernard Piccard.
RépondreSupprimerCombien il est nécessaire de réfléchir sur de nouvelles façons et trajets de changement...