"Je lui avais écrit des lettres, et des cartes de vœux à chaque fête… Pas une fois elle ne m’avait répondu. […] Les quelques instants qu’elle m’avait accordés, dans cette rue croulante de soleil, avaient suffit pour que je comprenne qu’il est des portes qui, lorsqu’elles se ferment sur une douleur, en font un abîme que même la lumière divine ne saurait atteindre… "
Yasmina Khatra, Ce que le jour
doit à la nuit (p 409 )
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