Elle, je ne veux qu’elle,
J’ai encore rêvé d’elle
Telle une échappée belle,
Une traînée d’arc-en-ciel.
J’ai encore rêvé d’elle
Telle une échappée belle,
Une traînée d’arc-en-ciel.
Elle chante à mon oreille
Dans mes nuits sans sommeil
Et se perd sous la treille
Aux matins de soleil.
Dans mes nuits sans sommeil
Et se perd sous la treille
Aux matins de soleil.
Elle ponctue mes silences
De trois points d’espérance
Et soigne de sa présence
Les plaies de mes errances.
De trois points d’espérance
Et soigne de sa présence
Les plaies de mes errances.
Elle, c’est une caresse,
Des mots jusqu’à l’ivresse,
Une corbeille de promesses,
Tant d’instants de tendresse.
Des mots jusqu’à l’ivresse,
Une corbeille de promesses,
Tant d’instants de tendresse.
J’aime quand elle m’enlace,
Que je garde la trace
D’une étreinte fugace,
Figée au temps qui passe.
Que je garde la trace
D’une étreinte fugace,
Figée au temps qui passe.
Elle est ma sentinelle,
Ma belle, ma rebelle
Et j’ai tant besoin d’elle,
Je l’entends qui m’appelle
Ma belle, ma rebelle
Et j’ai tant besoin d’elle,
Je l’entends qui m’appelle
Ta voix…
Annie K. Barbier, La voyageuse sur le banc
RépondreSupprimerUne voix
et la vie continue
avec un brin d'espoir...
Une voix interminable d'espoir...
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